Un marché
toujours dynamique en 2018 et bien orienté en 2019 : fin 2018, le prix moyen du M² à PARIS était
de : 9 570€
*SOURCE
LES NOTAIRES DU GRAND PARIS INFOGRAPHIE
LE FIGARO
UN
MARCHE SOUTENU EN NOMBRE DE VENTES
Après la forte croissance en
2017, le marché s’est maintenu à très haut niveau en 2018, avec 177
500 ventes de logements anciens en Ile-de-France (-2%).
L’activité progresse de 9% par rapport à l’excellente période 1999-2007 et surtout de 23% par rapport à la moyenne des 10 dernières années où des phases d’expansion et de récession du marché immobilier ont alterné. Dans le neuf, le volume de ventes des logements est resté très bien orienté, avec une croissance de 4% en Ile-de-France de 2017 à 2018.
L’activité progresse de 9% par rapport à l’excellente période 1999-2007 et surtout de 23% par rapport à la moyenne des 10 dernières années où des phases d’expansion et de récession du marché immobilier ont alterné. Dans le neuf, le volume de ventes des logements est resté très bien orienté, avec une croissance de 4% en Ile-de-France de 2017 à 2018.
La conciergerie Photo Nathalie Molho |
Le second
semestre 2018 a été plus dynamique que le premier.
Un volume de
vente moindre pour la Capitale Plus de 36 000 ventes ont été enregistrées, soit
5% de moins que l’année précédente. Parallèlement, et contrairement à ce que
l’on observe partout en Ile-de-France, l’activité n’a toujours pas retrouvé son
niveau de 1999-2007. Le manque de renouvellement de l’offre et le niveau des
prix continuent de peser sur l’activité parisienne.
Si tous les
segments de marché restent bien orientés, avec des résultats homogènes, deux
secteurs ont très légèrement mieux tiré leur épingle du jeu : les maisons en
Petite Couronne (+1% de 2017 à 2018) et les appartements en Grande Couronne où
le volume de ventes est stable.
photo Nathalie Molho |
Il y a
également assez peu d’évolution dans la taille des logements vendus en
Ile-de-France : 58 m² en moyenne pour un appartement et 113 m² pour
une
maison en 2018. Parallèlement, la structure des ventes d’appartements est restée exactement la même de 2017 à 2018. 15% des ventes d’appartements sont des studios, 29% des deux pièces, 30% des 3 pièces et 26% des 4 pièces et plus. Pour les maisons, la part des très grandes maisons a continué de se renforcer avec 38% de 6 pièces et plus (contre 37% en 2017 et 34% en 2015)
maison en 2018. Parallèlement, la structure des ventes d’appartements est restée exactement la même de 2017 à 2018. 15% des ventes d’appartements sont des studios, 29% des deux pièces, 30% des 3 pièces et 26% des 4 pièces et plus. Pour les maisons, la part des très grandes maisons a continué de se renforcer avec 38% de 6 pièces et plus (contre 37% en 2017 et 34% en 2015)
La hausse
annuelle du prix des appartements reste plus marquée au cœur de l’agglomération
au 4e trimestre 2018
Dans la
Capitale, la hausse des prix a été ramenée de 8,7% au 4e trimestre 2017 à 5,7%
au 4e trimestre 2018, le prix au
m² atteignant 9 570 € à cette date. Le prix au m² a augmenté de 21%
soit 1 680 euros en 3 ans et demi dans Paris par rapport au point
"bas" de 7 890 € enregistré au 2e trimestre 2015.
Hotel particulier détail d'escalier classé photo Nathalie MOLHO |
Les 7 premiers
arrondissements dépassent 11 000€ le m², le quartier le plus cher est
ODEON ( 17 410€ le m²) le moins
cher LA CHAPELLE ( 7460€ le m² )
L’arrondissement
le plus cher de la RIVE DROITE :
le 4e arrondissement avec un prix moyen de :12 890€ et l’arrondissement
le plus cher de la RIVE GAUCHE :
le 6e arrondissment avec un prix moyen de 13 150€
Vers une
reprise de la hausse des prix début 2019 dans Paris ?
La hausse
des prix se réduirait-elle enfin dans Paris ? Cela ne semble pas devoir être le
cas à court terme. D’après les indicateurs avancés sur les avant-contrats des
Notaires du Grand Paris, la hausse annuelle devrait légèrement s’accélérer dans
la Capitale dans les prochains mois. On attend dans Paris un prix au m²
record de plus de 9 700 € le m² en avril 2019, en hausse d’environ 7% en un an.
Perspectives
2019 : stabilisation du marché et taux bas
Globalement,
des facteurs positifs demeurent et les premiers résultats du marché francilien
de janvier 2019 sont bien orientés.
Les taux des
crédits à l’habitat, toujours historiquement bas, devraient le rester dans les
prochains mois, apportant une aide décisive aux ménages.
Cependant, la question de la confiance, qui joue un rôle déterminant quand il s’agit de s’endetter sur long terme, risque de se poser dans les prochains mois pour les acquéreurs.
Cependant, la question de la confiance, qui joue un rôle déterminant quand il s’agit de s’endetter sur long terme, risque de se poser dans les prochains mois pour les acquéreurs.
L’amélioration
du marché de l’emploi, qui semble structurellement installée pour les cadres,
ainsi que l’amélioration en 2019 du pouvoir d’achat des ménages sont des
facteurs favorables, toujours menacés par le risque de retournement de la
conjoncture, une crise sociale, ou plus probablement encore par les difficultés
structurelles du logement. Le marché immobilier reste fragile contraint par le
manque d’offre de logements répondant à la demande solvable et des prix élevés
alors que les politiques d’aide se sont recentrées.
La demande
d’acquéreur non-résidents ne semble
pas peser pour le moment sur l’orientation de la hausse des prix, lire
ci-dessous l’enquête de « Vous financer .com »
La Place des Vosges Photo Nathalie Molho |
Le pourcentage
de ventes à des non-résidents représentent environ 4% du volume global des
ventes, 2% à des expatriés français et 2% à des internationaux avec un prix
moyen assez similaire de 400 000€
Dans ce
contexte d’incertitudes, conserver l’attractivité de l’acquisition et de
l’investissement immobilier, poursuivre l’effort de constructions neuves,
paraît plus que jamais indispensable pour préserver la fluidité du marché et garantir
à tous l’accès au logement.
Source : http://paris.notaires.fr/fr
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Enquête
réalisée par Nathalie Molho Hatem