Saturday, October 29, 2022

Marianne Evennou: l'architecte de l'intime

 Inspirante et hyper douée, cette architecte chevronnée a créé son style ! Déjà à l'honneur sur ce blog en 2017, 

Search my home in Paris : MARIANNE EVENNOU : A STAR IS BORN ! by Nathalie Molho, real estate expert in Paris France

 c'est cette fois ci le Magazine ELLE  Decoration qui l'a met à l'honneur sur sa couverture  :


Bravo Marianne, continuez à nous faire réver, nous inspirer à travers votre palette de couleurs à nulle autre pareille et à vos aménagements et design précieux, contemporains et subtils !
Et pour trouver l'appartement qui vous permettra de faire appel à Marianne :Découvrez le site de notre agence immobilière

Pour tout vos projets immobilier ( recherche, achat, estimation ....) Contacter Nathalie

Saturday, September 10, 2022

Le Grand Prix de l’urbanisme 2022 décerné à M. Franck Boutté

 

Franck Boutté @Jean-Marie Heidinger

Qui est Franck Boutté ?

Une figure incontournable, désormais, dès qu’il s’agit d’enjeux environnementaux surtout dans les villes, que l’on qualifie de « villes durables » à transformer via différents concepts dont certains « éco-citoyens » comme celui de « rue commune »…

Ses initiatives visionnaires sont à découvrir d’urgence à travers son site :

agence@franck-boutte.com / www.franck-boutte.com

Portrait :

Franck Boutté, (né en 1968 ) fondateur et président de l’atelier d’ingénierie de la ville durable Franck Boutté Consultants, obtient d’abord son diplôme d’ingénieur civil des Ponts et Chaussées (1988-1992) avant de suivre pendant quatre ans l’enseignement de l’atelier UNO à l’école nationale d’architecture Paris-Belleville, qu’il quitte avant de passer son diplôme pour entamer son parcours professionnel. 

 De ce parcours est née la volonté d’effectuer la synthèse de ces deux univers qu’il pense complémentaires et indissociables, à travers l’exploration transdisciplinaire des problématiques environnementales et de développement durable.

 Composé de profils souvent hybrides (ingénieurs, architectes, urbanistes, chercheurs), l’Atelier intervient sur l’ensemble des enjeux environnementaux, à l’échelle des projets architecturaux, urbains et territoriaux en accordant une place importante à la recherche & développement et à l’innovation. 

 En 2022, le Grand Prix de l’Urbanisme est décerné à Franck Boutté par le ministère de la Transition écologique et de la cohésion des territoires et le ministère de la Transition énergétique pour sa démarche pionnière sur l’ingénierie environnementale des projets architecturaux, urbains et territoriaux.

Réuni le 29 juin 2022 à l’initiative du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires et du ministère en charge de la Ville et du Logement, le jury a décerné le Grand Prix de l’urbanisme à Franck Boutté, ingénieur des ponts et chaussées, formé à l’architecture. Ce prix lui sera remis par les ministres à la fin de l’année 2022.

Créé en 1989, le Grand Prix de l’urbanisme distingue chaque année une personnalité reconnue par un jury international. Il valorise l’action des professionnels qui contribuent à faire avancer la discipline et à améliorer le cadre de vie des habitants de tous les territoires.

Cette année, le jury a désigné Franck Boutté pour sa démarche pionnière sur l’ingénierie environnementale des projets architecturaux, urbains et territoriaux. Sa double approche d’ingénieur et de concepteur, et son positionnement de conseil et d’assistance à maîtrise d’ouvrage, lui permettent de réinterroger les projets à l’aune de solutions innovantes mais aussi contextuelles voire vernaculaires. Ses réalisations démontrent qu’il est possible de proposer des projets énergétiquement plus sobres, plus résilients face au changement climatique, mais aussi plus agréables à vivre.

Coordonnateur en 2003 d’un guide sur la construction durable, puis très vite engagé sur de nombreux projets de bâtiments à faible impact environnemental, il élargit progressivement son champ de réflexion et d’action au « projet urbain », en cherchant à une échelle plus large que celle du périmètre d’intervention les leviers de soutenabilité les plus efficients.

En réaction au modèle du bâtiment à énergie positive, il formalise en 2010 le concept de TEGPOS, territoire à énergie globale positive, pour revendiquer le passage nécessaire du bâtiment au territoire et la prise en compte des multiples composantes de l’énergie.

Au Maroc, à Casablanca (Anfa et Zenata), il travaille avec Bernard Reichen sur l’écologie méditerranéenne, renouant avec des savoirs vernaculaires et l’art « de l’ombre et du vent », essentiels en l’Europe à l’ère du réchauffement climatique.

Pour le projet d’aménagement de l’Île de Nantes, il invente avec son équipe une charte de développement durable et une méthodologie de prescriptions négociées, basée sur des « figures de durabilité », dans la continuité de la réflexion déjà entreprise lors du plan guide d’Alexandre Chemetoff.

A plus grande échelle, sa collaboration avec François Leclercq sur le SCOT de Montpellier lui offre l’opportunité de faire naître un projet de territoire qualitatif traitant de la revitalisation urbaine dans une démarche métaboliste intégrant les risques et valorisant l’eau, la nature, l’agriculture, et l’énergie.

Il est également mobilisé avec Richez_Associés et Léonard sur le projet de la Rue commune qui vise à fournir aux collectivités et aux organisations citoyennes un cadre et des outils pour engager la transition de rues ordinaires en « communs », à l’heure de la ville post-carbone.

Récemment lauréat avec le paysagiste Bas Smets des abords de Notre Dame, il imagine avec l’équipe un mode de refroidissement du sol, prévenant la formation d’îlots de chaleur urbains.
Il défend « la part inconstructible des territoires » par un réseau de « vides » sanctuarisés. Et propose des trajectoires pour guider la transition écologique des territoires : la restauration des écosystèmes naturels, la neutralité carbone, la dimension inductive et régénérative des projets sur le territoire et leur capacité engageante vis-à-vis des citoyens. A cet égard, il participe à un renouvellement de la dimension politique de l’urbanisme.

C’est un méthodologue, il dit construire sa pensée grâce à son action : « Je ne peux pas dissocier la pensée de l’action. Je m’intéresse plus à ce que je fais qu’à ce que je pense. »

Le Jury a salué la qualité des 6 autres équipes ou personnalités sélectionnées : Dominique Alba, directrice générale de l’APUR ; Nicolas Detrie, créateur de Yes we camp ; Sebastien Marot, philosophe chercheur et enseignant, Claire Schorter, Simon Teyssou et l’agence TVK, architectes-urbanistes.

Leur apport est immense combiné à celui du lauréat en offrant des perspectives d’avenir à l’urbanisme telles que la nécessité de changer de modèle, de méthodes voire de société avec un degré différent de radicalité. Ils évoquent l’évolution du jeu des acteurs, la plupart partant du projet, source de leçons et d’expérimentation, mais aussi de lectures, d’écrits, de rencontres, pour ouvrir des perspectives pour la diversité des territoires des plus métropolitains aux plus ruraux. Ils privilégient la mise en relation des espaces, mais surtout des sujets, en défendant la sobriété, déplorant la financiarisation, source de renchérissement des villes, et privilégiant l’entrée environnementale mais aussi le collectif, au sein des équipes, avec d’autres équipes, avec des spécialistes voire avec les habitants ou les preneurs d’initiatives. Ils appellent à partager les enjeux, et dépasser les controverses, pour faire la ville et la vie meilleures.

 A découvrir :

La Rue Commune - Transformons ensemble la rue métropolitaine

AGENCE FRANCK BOUTTE CONSULTANTS - Franck BOUTTE - LES 100 QUI FONT LA VILLE - INNOVAPRESSE

Thursday, May 26, 2022

Découvrez l'histoire du Marché des Enfants Rouges ...

 Ce marché - un des plus anciens de Paris- avant de donner son nom à un des secteurs les plus recherchés du Marais, et plus spécifiquement du 3e arrondissement, connut à cet emplacement plusieurs « vies »

Cet ancien marché couvert, qui a donné son nom au micro quartier «  des ENFANTS ROUGES » fut il y a bien longtemps un hôpital orphelinat, implanté au 16ème siècle, c’est en effet Marguerite de Valois Angoulême, sœur de François 1er qui créa en 1535 

L’ hôpital des ENFANTS DIEUX destiné à soigner les  enfants « errants » dans les rue de Paris, ces enfants prénommés «  Enfants de Dieu » étaient vêtus de capeline rouge, symbole de la charité chrétienne et furent baptisés les « ENFANTS ROUGES » par le peuple !


Au XVI° siècle, bon nombre d’enfants, orphelins de père et de mère, sont logés par l’Hôtel Dieu. Maladies infectieuses, insalubrité, ces enfants étaient malheureusement voués à une vie trop courte…En 1536, Marguerite de Navarre, la sœur de François 1er, décide de créer un hôpital dont le but serait de recevoir ces orphelins, appelés les Enfants de Dieu

Pourquoi cette couleur ? Dans l’art chrétien le ROUGE symbolise le St Esprit sous la forme du feu, chargé du pouvoir de régénération et de purification des âmes, les vêtements rouges portés par le pape le Vendredi Saint rappelant l’Amour du Christ pour l’humanité

L’institution ferme en 1772 après sa fusion avec l’hôpital des Enfants trouvés, créé par Vincent de Paul et placé sous l’égide de l’Hôpital général de Paris. Les petits orphelins sont alors transférés aux Enfants trouvés de l’Île de la Cité.

C’est en hommage à cette institution que le marché devint au 18ème siècle, le marché des Enfants-Rouges, un nom qui sera étendu au quartier délimité par la rue du Temple, la rue Pastourelle, le boulevard des Filles-du-Calvaire et la place de la République

Des vestiges de l’hospice sont encore visibles aujourd’hui au numéro 87 et 90 de la rue des Archives

Pourquoi le quartier des Enfants-Rouges à Paris s'appelle-t-il ainsi ? | Actu Paris

En étant inscrit à l’inventaire des Monuments historiques depuis 1982, le marché des Enfants Rouges a pu résister à de nombreuses opérations financières



Le Marché aujourd'hui 

Le Marché des Enfants Rouges est aujourd’hui un espace de convivialité, où marchands et habitants cohabitent en toute sympathie. Les commerçants sont présents durant l’année entière. Parmi eux, des producteurs bio, cavistes, ostréiculteurs, traiteurs spécialisés. Les terroirs des régions françaises jouissent d’une belle représentation.

En plus des produits français, quelques stands offrent un large choix de produits marocains, asiatiques et méditerranéens. Des restaurants cafés, un fleuriste et même un photographe y sont également implantés et appréciés des visiteurs.

Il y a quelques années, le Marché des Enfants Rouges a bien failli être détruit. La mairie de Paris voulait le détruire pour y construire un parking, une crèche et une bibliothèque, tout en conservant quelques stands. Des associations d’habitants se sont mobilisées, et ont réussi à conserver le marché en 2007.

Parcouru par des dizaines de riverains et de touristes chaque jour, le Marché des Enfants Rouges est un lieu parisien à découvrir, pour aimer encore plus notre capitale.


Pour vous installer dans ce micro quartier, une agence immobilière l'Agence des ENFANTS ROUGES vous accueillera pour vous aider à trouver votre "sweet home" 
Agence des ENFANTS ROUGES cliquez ici
Contact :mail
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Thursday, March 31, 2022

L'Agence des Enfants Rouges bientôt RIVE GAUCHE


  Dans le reportage du magazine "Residence Immobilier" je cite :

"Historiquement implantée sur la rive droite parisienne et dans son hyper centre, l’enseigne Les Enfants Rouges va exporter à la rentrée son concept à succès sur la rive gauche dans la vivante rue du Cherche-Midi. Entretien avec les fondateurs Philippe Gaudry et Franck Aprile. L’aventure des Enfants Rouges a débuté en 2010 avec l’ouverture d’une première agence plantée face au marché éponyme dans le 3e arrondissement de Paris. Il a suffi de quelques années au duo fondateur pour asseoir une réputation de sérieux et développer son concept fédérateur d’immobilier de proximité. Face à son succès, l’enseigne prend rapidement son envol et se duplique d’abord dans la même rue, puis Place des Vosges, à Oberkampf et tout récemment rue du Château d’Eau dans le 10e arrondissement : « Cette nouvelle agence ouverte début 2020 a rencontré très vite sa clientèle. Elle inaugure un nouveau concept de conciergerie axè sur le service et la mise en relation de professionnels liés à l’immobilier. Après plus d’une décennie sur le marché parisien, nous restons leader dans le 3e arrondissement et notre agence Place des Vosges s’est hissée cette année en première place des ventes dans le 4e arrondissement », explique Philippe Gaudry. 

Le projet de passer rive gauche à la rentrée poursuit la quête initiale des fondateurs avec un agence imaginée par leur designer fétiche Cyril Paillot :« Nous serons rue du Cherche-Midi, une rue de bouche, vivante et dynamique qui a les atours des quartiers que l’on affectionne et dans laquelle nous imprimerons notre vision d’un immobilier de proximité, en phase avec le quartier mais sans faire dans l’ultra-luxe », confie Philippe Gaudry. 

A propos du marché parisien en pleine mutation, Franck Aprile souligne « Le marché dans l’hyper centre de Paris est devenu compliqué depuis la crise sanitaire et l’absence de la clientèle étrangère a provoqué une baisse des ventes assez significative. Nous ne sommes clairement plus sur un marché spéculatif, le rapport acquéreurs-vendeurs s’est équilibré et on revient à un marché raisonné. Toutes ces nouvelles données nous ont poussé à être encore plus précis sur les estimations : nous devons fournir un véritable travail d’experts vis-à-vis de nos clients ». La rentrée ? « Elle devrait être plus dynamique, nous espérons le retour des étrangers. En tout cas certaines banques londoniennes réinstallent leur siège à Paris... », conclu Franck Aprile. "

Article Ecrit par Sandra Serpero

Monday, March 7, 2022

Revue de presse sur L’état du marché immobilier Parisien au 7 mars 2022

 Baromètre SELOGER paru en Décembre 2021

"À Paris, la hausse du prix de l'immobilier ralentit mais persiste !

Dans la Ville-Lumière, l’exode urbain (beaucoup de ménages ont délaissé la capitale pour s'établir dans des villes moyennes ou encore en grande périphérie, en quête de verdure et de prix plus accessibles, NdlrR) n'a pas échappé aux professionnels du secteur de l’immobilier. Pour autant, ces départs massifs (à la rentrée dernière, les écoles parisiennes ont accueilli 6 000 écoliers de moins qu'en 2020, NdlR) ne semblent pas avoir impacté durablement le marché immobilier de l'ex-Lutèce. Il y a - et il y aura toujours - des amoureux de la capitale en recherche d’un appartement, même si l’on relève désormais des contrastes parfois inattendus entre les tendances relevées dans les vingt arrondissementparisiens.

Paris : la hausse des prix immobiliers accélère dans l’est de la capitale !

Appartements présenté par l'Agence des Enfants Rouges dans le 11ème et 10ème arrondissement


La progression la plus importante a été relevée dans le nord-est parisien : le prix au mètre carré dans le 19e arrondissement de Paris enregistre 13,4 % de hausse sur un an. Il en va de même dans les 4e, 10e, 11e, 12e et 13e arrondissements avec des augmentations de prix qui oscillent entre 9 % et plus de 12 % sur un an. A l’inverse, le prix au m² dans le 8e arrondissement de Paris ralentit, il n'augmente que de 0,6 % sur un an en novembre (vs + 1,4 % sur un an en octobre dernier). 


L'agence des Enfants Rouges à ouvert deux agences  dans le 11e et 10e arrondissement


Certains professionnels observent actuellement un regain d’intérêt pour certains quartiers qui, alors qu'ils se contentaient autrefois de constituer un marché de report pour les Parisiens, sont désormais particulièrement recherchés. C’est notamment le cas du 11e et plus largement de tout l’est Parisien, considéré comme jeune, dynamique et décontracté (certains esprits chagrins ajouteraient « bobo »…). Bon nombre de ces secteurs sont désormais aussi prisés que le quartier du Marais pouvait l'être, il y a quelques années encore, et voient leurs prix de vente augmenter régulièrement. Très prisé, le 11e - pour ne citer que lui - a vu le prix de son immobilier accuser 9,7 % de hausse annuelle. Pour y devenir propriétaire comptez, en moyenne, 10 539 €/m²."

 

 Chambre des Notaires/ Communiqué de presse du 27 janvier 2022

 Focus : Un marché francilien très actif en 2021 et qui se déplace vers la Grande Couronne

La Grande Couronne, et la Seine-et-Marne en particulier, tiennent un rôle de plus en plus essentiel pour accompagner la croissance des ventes et répondre aux besoins des acquéreurs

Depuis 20 ans, le poids de la Capitale, dont le marché est fortement contraint par le manque d’offre, se réduit. Dans un marché partout en croissance si l’on compare les ventes de 2001 et 2021 (+16% et 24 200 logements vendus en plus) seul le marché de la Capitale est en très léger repli. La part des ventes à Paris dans le total francilien recule de 24% en 2001 à 20% en 2021.

Et les ventes de maisons sont essentiellement localisées en Grande Couronne En 2021, le nombre de ventes de maisons à Paris reste anecdotique (moins de 1% des 36 000 logements vendus). En revanche, ces dernières représentent plus de 50% des ventes en Grande Couronne (entre 46% dans les Yvelines et 61% en Seine-et-Marne, département qui recouvre la moitié de la surface de la région et autorise un habitat moins dense). Le logement collectif domine dans les départements de Petite Couronne mais dans des proportions différentes : 88% d’appartements dans les Hauts-de-Seine, 75% dans le Val-de-Marne et 69% en Seine-Saint-Denis.

Le marché de la Grande Couronne représente désormais 46% des ventes franciliennes contre 41% il y a 20 ans. Il concentre la majeure partie des ventes de maisons (3 maisons vendues sur 4) et un appartement sur 3 est désormais vendu en Grande Couronne, contre un sur 4 il y a 20 ans.


Carte des Prix source Notaire du Grand Paris : par arrondissement au 4e TRIMESTRE 2021

Retour à la normale et optimisme tempéré pour les prochains mois

Les facteurs qui ont apporté un soutien à l’activité et dynamisé les ventes dans l’ancien sont toujours présents (démographie, besoins en logement, épargne de précaution, « pierre-plaisir » et « pierre-refuge »). Les ménages ont plus que jamais le souhait de devenir propriétaires.

On espère, comme cela a souvent été le cas dans le passé, que l’élection présidentielle n’ait que très peu d’impact sur le marché. On ne peut que regretter que la question du logement ne fasse pas l’objet d’une préoccupation plus active des candidats et soit absente des débats alors qu’elle est essentielle pour les ménages.

Quelques éléments de tensions pourraient cependant se manifester courant 2022. Les taux d’intérêt sont toujours très attractifs, malgré une très légère hausse en ce début d’année. Dans sa note du 15 février « Indicateur des taux », l’Agence Nationale pour L'Information sur Le Logement observe une hausse de « l’ordre de 0,2 point de base pour les meilleurs profils », « sous l’effet conjugué de l’inflation et de la croissance des taux d’emprunt d’Etat ». Il faut une nouvelle fois redire que l’attractivité des taux d’intérêt et un accès au crédit facile est la condition essentielle de la fluidité du marché.

 

SOURCE MEILLEURS AGENTS

À Paris, le recul des prix observé depuis la rentrée de septembre semble enfin marquer le pas (0%). Dans la capitale, les prix ne devraient donc pas repasser sous le seuil des 10 000 €/m². Il est cependant encore trop tôt pour affirmer que le phénomène baissier (-1,5% en un an) est bel et bien fini mais les experts de Meilleurs Agents se montrent optimistes. En effet, le nombre d’acquéreurs est en légère augmentation à Paris où l’indice de tension immobilière (ITI) s’affiche à 13% au 1er février, contre 10% il y a un mois. Un retour des acheteurs que l’on observe aussi dans la plupart des grandes villes françaises, à l’exception de Nantes (-6%). Ainsi à Marseille, Lille ou Lyon, on compte désormais respectivement 14%, 15% et 7% d’acheteurs de plus que de vendeurs, contre 9%, 12% et 3% en décembre. 

Un signal fort qui augure là encore d’un printemps immobilier dynamique. 

Enquête réalisée par N. Hatem 
*** Cette enquête réalisée à partir d'une sélection d'analyses réalisée sur les transactions de l'année 2021 ne prend pas en compte les récents événements et la guerre d'Ukraine

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Wednesday, January 26, 2022

Proust au Musée Carnavalet, un "ROMAN PARISIEN"....

Le très beau Musée Carnavalet, Musée de la Ville de Paris rénové récemment, dont les expositions permanentes sont dédiées à l'histoire de  Paris, situé 23 rue de Sévigné, dans le Marais, près de la Place des Vosges, consacre une exposition au Paris de Marcel Proust à travers une exposition baptisée  Proust, un roman parisien.

René-Xavier Prinet, Le Balcon, 1905-190
© Caen, musée des Beaux-Arts / Patricia Touzard

"Le Musée commémore le 150e anniversaire de la naissance de Marcel Proust ( 1871-1922) .Consacrée aux rapports de Marcel Proust à Paris, où se déroule l'essentiel de son existence, l'exposition Marcel Proust un roman parisien interroge pour la première fois la place de la ville dans le roman proustien" je cite le "pitch" de l'expo, tout simplement passionnant !

Jean Béraud, La sortie du lycée Condorcet, vers 1903
CCØ Paris Musées / Musée Carnavalet - Histoire de Paris

 Les proustiens se pressent pour découvrir les "adresses" de Marcel Proust, auteur d'A la recherche du temps perdu" à travers des cartes de Paris, détaillant ses lieux fétiches, ses bonnes adresses, ses lieux de résidence, de vie de bohème nocturne, un peu en contraste avec la douceur enfantine de Illiers-Combray ou de Cabourg

                                                           René-Xavier Prinet, Le Balcon, 1905-190
                                                      © Caen, musée des Beaux-Arts / Patricia Touzard

Environ 280 oeuvres..., manuscrits et documents d'archives evoquent l'univers parisien de Marcel Proust, oscillant entre réinvention et réel .De nombreux extraits de films d'archives, d'adaptations cinématographiques et de captations sonores d'A la recherche du temps perdu , offriront aux visiteurs une introductions sensorielle au roman et au monde proustien.


Programmation culturelle associée à l'exposition :

Événements en nocturne, à partir de 19h


Jeudi 13 janvier : conférence de Jean-Yves Tadié (Université Paris-Sorbonne)

Samedi 22 janvier: Nuit de la lecture

      « Tentative de résumer la Recherche en une heure » par Véronique Aubouy

      « Anna de Noailles. Lecture en musique » par Laure Urgin (voix) et Armance Quero (violoncelle)

Jeudi 3 février : lecture « Au lit de Proust » par Marie Darrieussecq

Jeudi 10 février : Des hôtels parisiens... très particuliers : les maisons de prostitution masculine dans les manuscrits de Marcel Proust, conférence de Pyra Wise (Ecole Normale Supérieure)

Jeudi 17 février : concert de l’Orchestre de chambre de Paris

Mercredi 9 mars : conférence Jean-Marc Hovasse (Sorbonne Université/CNRS)


                           © Pierre Antoine / Paris Musées / Musée Carnavalet - Histoire de Paris

                                            Informations pratiques | Carnavalet (paris.fr)   

                                                    Merci searchmyhomeinparis


Sunday, January 2, 2022

                                             

                                              Meilleurs Vœux pour 2022 !

                                                                              Best Wishes for 2022 !

                                             Les ENFANTS ROUGES 

                                                                             17 Place des Vosges 75004 Paris